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- CAVE -

Dans la cave bout un chaudron, des bocaux étranges reposent sur les étagères et un chat noir vous surveille. On y pratique la sorcellerie.
 

Ce genre d'amphore, fabriquée à partir d'un oeuf d'autruche, permettait de garder son contenu totalement exempt de microbes. Etant symbole de vie, la mort ne peut s'y développer.

La Langue d'Alberich est une pierre magique qui permet de comprendre et de parler toutes les langues.

Ce coffret peint de symboles vaudous protecteurs sert à neutraliser un artefact maudit.

Une poupée vaudou ou dagyde est une poupée représentant l'esprit d'une personne, employée pour lui jeter des sorts. La poupée représente une personne, et les actions sur la poupée sont supposées avoir des effets sur la personne à travers la poupée. Elle est censée contenir un élément de la personne à envoûter (cheveux, bouts de peau, rognures d'ongle…), son nom sur un morceau de papier, ou une image (photographie).

Cette fiole noire contenant une potion, était accrochée au cou d'un homme. Elle l'identifiait comme appartenant à un certain Dr Praetorius. Il l'avait empoisonné grâce à un produit extrait du foie d'un poisson qui l'avait plongé dans l'inconscience. Sa famille le croyant mort l'avait enterré. Praetorius l'avait exhumé et lui avait donné un antidote pour le ramener à la vie. Il avait ainsi gagné un serviteur dévoué qui ne connaissait pas la peur, persuadé que Praetorius l'avait ressuscité.

Un instrument fort réputé au Moyen Age est la Main de gloire. Ce nom serait une corruption de Mandragore. Elle permet de s’introduire et de voler dans une maison en toute impunité. C’est la main d’un pendu ou d’un décapité, préparée selon une recette publiée dans l’Extrait des secrets merveilleux de la magie naturelle et cabalistique du Petit Albert.

Mandragore

Mandragore

C'est une plante magique qui poussait au pied des gibets. On disait qu'elle était fécondée par le sperme des pendus. Elle a l'apparence d'un homoncule. Pour la récolter, on l'accrochait à un chien qu'on attirait au loin. A l'arrachage, elle poussait un cri d'agonie qui tuait qui n'avait pas les oreilles bouchées au préalable. Elle était utilisée en sorcellerie et en alchimie.

Fabriquer une bouteille de sorcière est une vieille tradition, suivie depuis des temps éloignés. Elle consiste à remplir une bouteille de terre et d'y ajouter certains éléments dans un but de protection pour sa demeure ainsi que ses occupants. Les sorcières avaient pour habitude de fabriquer leur bouteille durant la lune croissante et de l'enterrer près de leur demeure. Elles contiennent surtout des clous rouillés courbés, des aiguilles, des rognures d'ongles, des cheveux, des poils, de l'urine.

Ce crâne est celui du cavalier sans-tête qui terrorisa Sleepy Hollow. Bien qu’il soit établi désormais que les Dulahan ne sont pas par nature un peuple belliqueux et qu’ils sont bien intégrés à notre société, à l’époque, ils étaient encore inconnus. Nous avons désormais la preuve que le cavalier sans tête était victime d’un charme qui l’a poussé au massacre. Le coupable gardait sa tête pour l’obliger à commettre de viles actions. C'était une sorcière qui voulait se venger des notables du village

Le terme nkisi ou nkishi est généralement employé pour désigner les statuettes anthropomorphes produites par les populations bakongo à des fins magico-religieuses. Le nkisi des Woyo du Bas-Zaïre est un objet magique abritant une force impersonnelle ambivalente. Les statues servent soit à la divination, soit à la protection, soit à l'imprécation. Dans ce dernier cas, on enfonce un clou dans la statuette pour exciter une puissance surnaturelle qui se vengera sur une victime désignée.

Ce crucifix appartenait à Marie Laveau, la grande prêtresse vaudou de la Nouvelle Orléans. Il a été investi d’une grande part de son pouvoir.

Grimoires

Outils de sorcellerie

Artefacts magiques

Tranchoir à herbes magiques

Le chaudron est l'outil de base de la sorcière, tout comme le balai ou le chat noir...

Dague sacrificielle

Le Malleus Maleficarum (« Marteau des sorcières », c’est-à-dire marteau contre les sorcières), est un traité des dominicains allemands Henri Institoris (Heinrich Kramer) et Jacques Sprenger, ayant eu place de coauteur, publié à Strasbourg en 1486 ou 1487. Il connut de nombreuses rééditions. Chaque sorcière en avait un exemplaire pour connaitre ses ennemis et se rappeler ce qu'elle risquait.

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